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Yasen

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Ven 20 Nov - 18:28
Qui êtes-vous ?

Nom : Le temps l'a effacé
Prénom : Yasen
Âge : 25 ans
Race(s) : Draconian
Alignement : Neutre














« Ne suis-je pas un faux accord Dans la divine symphonie,
Grâce à la vorace Ironie Qui me secoue et qui me mord ? » Baudelaire
Clan duFeu


Physique




Froid. Première impression.
Effrayant. Deuxième sensation.

Des cheveux de jais surplombant un visage ovale et fin, cachant un regard d’ambre inexpressif. Une œillère sombre masquant l’œil gauche. Une tenue sobre qui dissimule mal une carrure plutôt musclée et une allure élancée. A la ceinture dépasse d’un fourreau le pommeau d’un katana.

Un homme distant, dans l’ombre, solitaire. Une forme draconique si peu visible, presque cachée. Couleur antagoniste de son apparence humaine, ces écailles à l’éclat rouge vif font de lui un dragon voyant pourvu de crocs acérées, de griffes effilées. Des cornes hautes et pointues, un regard vivant et mordant, une queue puissante et de larges ailes complètent une stature imposante. Machine gracieusement mortelle.

Lorsque cesse le dragon et que revient l’homme, ce corps dénué de vêtements témoigne d’un âpre passé. Longues et profondes sont les cicatrices qui parsèment sa peau. Douloureuses à la simple vue. Un dos écharpé, un œil lacéré, angoissantes traces d’un ancien temps.


Mental




Ce jeune homme, assis seul dans l’ombre, semble bien silencieux. Réservé et avare en paroles, son regard éteint glisse sur vous et sur toute chose comme si elles n’existaient pas. Aucune émotion ne suinte de cette carapace glaciale.

Deux-trois échanges révèlent un respect distant, une conversation désintéressée. A la moindre pique ou familiarité, une menace claire émane des paroles dures de cet être froid. Loin d’être impulsif, il attend posément, sur ses gardes, et ne donne pas le premier coup. Mais quand celui-ci arrive, l’œil morne et fade s’anime soudain, devenant pure haine et plaisir brutal. Aucune pitié ni mesure ne retient la lame de celui qui a été offensé. Peut-être même remarquerez-vous ce délirant sourire qui avive ce visage auparavant impassible ?

Cette attitude indifférente et mesurée a une faille. Le contact physique, prohibé. Sans aucune explication, cela le fait sortir de ses gonds, perdre son sang-froid. Dans son unique œil se fait alors jour une haine viscérale, cachant peut-être une profonde terreur. Mais après avoir repris contenance, c’est de nouveau un homme solitaire et distant qui se tient là, dénué d’émotion.

Ignorant ce qui vit autour de lui et ne l’atteint pas, il semble perdu dans un monde bien à part. Mais lorsqu’il fait face à une personne en difficulté, c’est en lui un combat acharné entre son ignorance voulue et une certaine once de bienveillance qui subsiste et qui, aussi étonnant que cela puisse paraître, le pousse à venir en aide à ceux qui en ont besoin. Toujours dans une certaine distance et avec la claire volonté de n’être qu’une assistance ponctuelle et vite oubliée.

Pourtant, malgré cette apparence, ce n’est un pas un être dénué de sentiments. C’est un jeune draconian qui aime vivre, mais qui a été torturé par la vie et qui souhaite demeurer un ermite, loin de ses semblables et de ses désillusions à leur sujet. Gagner sa confiance semble impossible, improbable, mais après tout, ne croit-on pas que la Rose de Jéricho est fanée jusqu’à ce qu’une goutte d’eau vienne l’éclore ?


Statut




Classe/Métier : La plupart du temps, Yasen vit en autarcie, seul dans son coin de forêt. Puisque rien ne le retient nulle part, il peut arriver qu'il parte seul à l'aventure, plus ou moins loin de chez lui. Mais il retourne également régulièrement en ville, notamment quand les temps sont plus durs et le gibier plus rare. Il se fait alors embaucher comme mercenaire ou chasseur de prime (si possible) ou vole sa nourriture pour vivre, voire les deux. Ayant volé toute sa jeunesse, cela ne lui pose aucun problème de conscience. Quant à chasser des têtes... Il est loin d'être expert dans ce domaine mais chaque combat libère en lui une dose d'endorphine assez impressionnante et dont il se délecte. Ou, pour faire simple, il aime se battre et surtout, blesser ses adversaires.

Situation Sociale : Yasen est pauvre mais n'en a cure. Il n'a rien, à part peut-être quelques pièces économisées ici et là. S'il a besoin de quelque chose, il le prend ou le vole, c'est tout. Il vit la plupart du temps en marge de la société, seul dans la Forêt Rousse, mais revient parfois en ville se mêler à la population, malgré lui.

Pouvoirs : Yasen a pour seuls pouvoirs magiques ceux que lui confère sa race et son clan. Du moins le croit-il ; il ne l'a pas forcément remarqué, mais il a également une guérison plus rapide que la normale, certainement dû aux nombreuses blessures que son corps a dû endurer par le passé. En outre, il ne le sait pas encore, mais lorsqu'il perd du sang notamment en combat, la dose d'adrénaline qui le parcourt alors décuple légèrement sa force et sa vitesse. Ainsi, plus il est blessé et proche de la perte de conscience, plus puissant il sera.

Familier(s) :

Autre :


Histoire




Dans le clan du feu vit le jour un petit garçon que ses parents prénommèrent avec amour Yasen. Fils unique de ces deux draconians qui mirent en lui tout leur amour. Ils voulurent l’élever avec passion… Mais ils furent emportés sans avoir pu éduquer ce fils comme ils le souhaitaient.

Tout bascula lors d’une soirée qui semblait si banale. L’enfant de six ans ne dormait pas. Il s’était levé et avait rejoint ses parents dans leur chambre. Qui donc ne l’a jamais fait ? C’était une soirée normale. Pour lui. Mais lorsque la porte de la maisonnette avait claqué, le sursaut avait levé les trois membres de la famille. La compréhension sitôt faite dans l’esprit des deux adultes dont la réputation de bons marchands n’était pas à refaire et la richesse, pourtant si peu excessive, connue, l’enfant encore ensommeillé fut mis dans un coffre. Puis sans autre délai, des intrus pénétrèrent la pièce.
D’un trou du coffre, l’enfant vit tout le massacre. Son père se faire lâchement assassiner. Le sang repeindre les murs. La tête roulant au sol, le bruit sourd du corps qui s’écroule. Le hurlement étouffé de sa mère qui se mua en gargouillis alors que son cœur fut percé de part en part. Les dépouilles piétinées et négligées, les agresseurs déjà partis. Et l’incompréhension totale de l’enfant, les yeux ronds, dorénavant orphelin.
Il était longuement resté pétrifié. Puis il était sorti de sa cachette, de la chambre, avait dévalé les escaliers et avait fui la maison. Sans un cri, sans une larme, sans un mot. A partir de ce moment, ce fut le blanc total. Aucun souvenir de cette longue période d’état de choc ne perdura dans sa mémoire. Qui sut combien de temps s’écoula ?

Comme s’il s’éveillait, son cerveau revint à lui, sa mémoire reprit ses fonctions. Assis dans une ruelle, un quignon de pain à moitié mangé dans une main, l’enfant était sale, boueux. Il n’avait que la peau sur les os et n’avait sûrement dû sa survie qu’aux morceaux de pains jetés par des passants attristés.
Clignant des yeux, il se remémora ce dur souvenir, le dernier qu’il eût. Il se leva et, sans cérémonie, couru à toutes jambes vers sa maison. Mais il s’arrêta net. Elle était vidée. Un panneau indiquait sa vente. Ses parents étaient partis, ses parents étaient morts. L’avait-on recherché, lui ? L’avait-on oublié ? Ses parents n’avaient plus aucune famille, alors qui aurait pu penser à lui ? Alors, il pleura. Indifférent aux passants qui lui jetaient des regards atterrés, il fondit en larme et pleura comme un enfant qui avait tout perdu. Comme l’enfant qu’il était.

Il devint comme tous ces gamins des rues, un pauvre orphelin volant pour survivre. Il connut malgré lui cette dure vie, la faim au ventre, et découvrit à quel point les bandes d’enfants – et même d’adultes – dans les bas-fonds des villes étaient impitoyables. Mais s’il apprit à vivre avec les autres enfants durant quelques années, il finit par ne plus être accepté parmi eux – parce qu’il avait eu une famille, parce qu’il n’était pas seulement humain, parce que les enfants étaient entre eux sans merci et qu’il fallait bien un bouc émissaire.

Dans ces rues, Yasen comprit bien vite l’intérêt de cacher sa forme draconique. Pris sur le fait en train de voler, il était bien plus facile de s’échapper par une métamorphose soudaine. Et il était plus discret lorsqu’il se fondait parmi la foule et les plus faibles du peuple. C’est ainsi qu’il vécut de longues années, mais il ne fut pas durant tout ce temps totalement seul. Il avait à ses côtés un chat, rencontré un jour dans une ruelle affamé et qu’il avait nourri avec attention. Depuis, celui-ci ne le quittait plus ou finissait toujours par le retrouver. Ce n’était peut-être qu’un animal, mais c’était aux yeux de l’enfant le seul ami qu’il avait, et le plus grand des amis que l’on puisse avoir.

La vie de ce misérable orphelin prit un nouveau tournant, un virage déroutant et malheureux. Un jour qui semblait encore une fois n’avoir rien d’inhabituel. Caché derrière une maison, dans une minuscule ruelle, il attendait que le marchand qui l’avait surpris à voler retourne à son échoppe. Attentif, le chat noir collé à ses jambes semblait attendre tout comme lui.
Des bruits de pas se firent entendre dans la ruelle et l’enfant tourna la tête. Deux personnes d’apparence humaines s’avancèrent vers lui tout sourire. Un homme et une femme. Du haut de ses quinze ans, il resta sur la défensive mais ne tint pas longtemps lorsque les inconnus lui offrirent un croissant et lui proposèrent de l’accompagner « pour en avoir davantage ». Une telle proposition ne lui avait jamais été faite. Affamé, l’enfant hocha la tête et prit son chat dans les bras, mais l’homme fronça les sourcils. « Sans lui ». L’enfant secoua la tête et voulu s’éloigner. Mais avant qu’il n’ait pu faire un geste, la femme attrapa le chat par la peau du cou et, après un mouvement rapide, laissa tomber l’animal poignardé, ensanglanté. Les yeux ronds, le sang de l’enfant ne fit qu’un tour mais, alors qu’il s’élançait vers les adultes et que son poing commençait déjà à devenir écailleux et griffu, il perdit conscience et chuta lourdement contre le sol.

Lorsqu’il ouvrit les yeux, c’était une nouvelle route funeste qu’avait pris son destin. Mais ça… il ne le savait pas encore. Enfermé dans une pièce digne d’un bâtiment désaffecté, il était seul. Par réflexe, il essaya de se transformer mais du collier nouvellement apparu autour de son cou émana une décharge qui le laissa pantelant. Objet vicieux et ensorcelé qui eut le même effet à chaque tentative ultérieure. Il attendit, se remémorant ce moment où on l’avait arraché à sa vie dans les rues, où il avait perdu son seul ami. Pour la seconde fois, depuis bien longtemps, il fondit en larmes sans pouvoir s’arrêter, portant le deuil de ce chat qui représentait tant à ses yeux.

S’il ne voyait personne, il avait quand même régulièrement de la nourriture distribuée par une trappe dans la porte qui s’ouvrait de l’extérieur. Ces repas étaient plus consistants que ce qu’il mangeait habituellement dans la rue et, malgré qu’il ait l’estomac noué, il ne s’en priva pas. Plusieurs jours passèrent et il en perdit la notion du temps.
Mais quelque chose finit par changer. Un jour, le laissant demeurer dans l’incompréhension la plus totale, on le sortit de cette geôle improvisée et il fut lavé puis apprêté, sans pouvoir se rebeller avec ce collier qui anéantissait chacune de ses tentatives. Yasen put remarquer qu’il n’était pas le seul enfant à être traité de la sorte mais ne put réellement le prendre conscience, jusqu’à ce qu’on l’amène à un poteau où il fut attaché à côté d’autres sur ce qui ressemblait à une estrade.

Quelle chance avait-il eu, ce pauvre enfant. Il était tombé entre les mains de la pègre. Plus précisément, des vendeurs d’esclave. Et il le comprit bien vite durant la soirée qui suivit, où les enchères s’enchaînaient sans pudeur. Qui aurait cru que dans les bas-fonds de la grande cité de Firewall se produisaient de telles abominations ?

Lorsque prit fin cette interminable mascarade, il fut raccompagné dans sa cellule. On lui offrit du pain et de l’eau, mais il était incapable de manger. Un homme à moitié loup vint le chercher plus tard dans la soirée et, le remarquant, il lui fit avaler de force des comprimés avant de le faire sortir de la geôle. Par la suite, tandis qu’on le traînait hors de la pièce, l’enfant sombra dans l’inconscience.

Lorsqu’il se réveilla, il avait l’esprit embrumé comme s’il avait passé des jours à dormir. Il avait le sentiment de s’être réveillé plusieurs fois dans les cahots d’une roulotte. Il était dans une pièce ressemblant à une petite chambre. Il dut attendre un moment avant qu’un homme imposant ne vienne lui apporter un repas et se présente comme son acquéreur. Il repartit bien vite, laissant seul le pauvre Yasen, qui n’avait désormais plus sa liberté. Ce n’est que quelque jours plus tard et pour son plus grand malheur qu’il comprit où il avait atterri…

C’était un fou. Un fou richissime qui avait pour hobby d’organiser une fois par semaine une soirée huppée où la débauche avait cours. Et où, pour s’amuser, on s’adonnait à la torture. Mais on soignait quand même les victimes le lendemain, pour que ces misérables jouets durent plus longtemps…

Ils étaient trois enfants, trois esclaves de ce fou furieux et de sa clique de richissimes débauchés. Deux autres enfants étaient déjà là depuis un moment avant que n’arrive le draconian. Deux enfants dont l’état laissait présager une mort rapide. Deux enfants humains qui n’avaient presque plus d’espoir. Mais l’arrivée de Yasen, qui avait vécu toute son enfance dans les rues et qui n’étaient pas aussi blessé qu’eux, insuffla de nouveau l’espoir de pouvoir s’échapper en eux. Et tous trois tentèrent d’échafauder un plan pour s’enfuir, comme l’avaient fait maints enfants avant eux.

Cette horrible période de sa vie fut teintée de sang et de douleur. Traumatisme à jamais ancré dans sa chair et dans sa mémoire. L’enfant qu'était encore Yasen apprit comment réagir à la douleur, il vit que les suppliques ne faisaient qu’attiser la folie des hommes. Toute tentative de transformation le laissait au bord de l’inconscience ; Et elles survenaient à l’issue de chacune de ces terribles soirées de torture, quand la douleur n’était plus supportable, quand sa voix éraillée n'était plus capable d'hurler, quand tout son être était à feu et à sang.

Bientôt, les autres enfants déjà là avant lui succombèrent à leurs blessures. Il se retrouva seul à endurer les tortures toujours plus violentes et douloureuses qui le laissaient ensanglanté. Il sentait que s’il ne trouvait pas un moyen de s’enfuir, sa propre fin serait proche. Les fous étaient toujours plus acharnés, réclamaient toujours plus de sang.

Ce fut le soir où il perdit son œil gauche qu’il parvint à s’enfuir. Les blessures qu’il avait subies étaient particulièrement profondes et, bien qu’ils aient toujours évité de toucher son visage auparavant, cette fois-là ils avaient tous applaudis et rit quand il avait hurlé de douleur à la perte de son œil. Il savait qu’il ne survivrait pas à une prochaine fois et qu’il serait bientôt remplacé par encore d’autres. Animé par l’énergie du désespoir et par une adrénaline insoupçonnée, il parvint à s’enfuir. Il ne se souvint pas réellement comment ; Il se souvint seulement avoir longuement couru, au bord de l’inconscience, avant de sombrer dans l’eau. Un lac, un étang ? Il faisait nuit noire et il ne s’en souvient pas. Mais en revanche, il se souvient de la sensation de bien-être qui l’avait envahi lorsque l’eau s’était faite maîtresse de son corps meurtri aux frontières de la mort. Il avait seulement eu une pointe de regret, celle de mourir après avoir durement retrouvé sa liberté…

Lorsque Yasen rouvrit les yeux, il était face face à un feu crépitant… Et constata, avec surprise, qu’il n’était pas mort. Il avait sa liberté. Et il était vivant. Il avait été trouvé puis ramené par une femme du Clan de l’Eau qui avait entreprit de le soigner. Pleine de douceur, s’il ne pipa mot et se montra même parfois irascible avec elle, elle fit preuve de patience et le soigna de son mieux, sans lui demander une seule fois ce qui lui était arrivé. Elle lui apprit qu’il était sur les terres du Clan de l’Eau où il comprit qu'il avait été transporté après sa perte de liberté, qu’elle l’avait vu sombrer dans l’eau et qu’elle l’en avait sorti. Pour autant, elle prit soin de lui, l’aidant à se lever, l’encourageant à faire de l’exercice pour s’entretenir durant son rétablissement. S’il frissonnait à chaque contact, à chaque changement de bandage, à chaque badigeonnage de pommade, elle se montrait ferme et ne lui laissait d’autre choix que d’accepter ces soins gracieux. Et, après avoir fait appel à l’une de ses connaissances adepte des objets ensorcelés, elle avait même réussi à lui ôter ce collier et à lui rendre totalement sa liberté. Lorsque ledit collier tomba par terre, Yasen, enfin totalement libre, s'isola et pour la troisième fois de sa vie, pleura à chaudes larmes. Mais, cette fois-ci, ce fut de bonheur... Dès ce moment, il posa sur cette femme dont il chérissait le nom un regard tout à fait différent et, très lentement mais sûrement, commença à lui ouvrir son cœur et à lui accorder sa confiance.

Elle était la seule qui pouvait le toucher, l’approcher. Les séquelles qu’il conservait de sa vie passée étaient profondes, mais il les oubliait avec elle. Il passa de courtes années à ses côtés, l’aidant comme il le pouvait dans sa profession de soignante. Ce fut aussi à cette époque qu’il commença à s’entraîner pour être en mesure de se défendre, pour chasser son propre gibier et vivre sans personne. Son vécu ne lui permettait pas de continuer à vivre de façon insouciante, il devait pouvoir se défendre, tant en forme humaine que draconique. Il s’efforça à s’entraîner rigoureusement pour ne plus jamais subir la folie des hommes, pour que le moment venu il puisse sauver la vie de celle qui lui avait sauvé la sienne. Mais, au-delà de ça, ses entraînements semblaient le libérer, se battre contre un adversaire et le dominer de sa force l’excitait. C’était comme s’il se vengeait pour toutes ces années de souffrance. Néanmoins, il ne ressentait pas l’envie de tuer ou d’attaquer les autres de son propre chef ; C’était peut-être le seul point qui le différenciait d'un fou.

Au terme de ces quelques années de bonheur, la vie si douce de son aimée s’éteignit, emportée par la maladie. Ce fut un déchirement pour lui. Pour la dernière fois de sa vie, il pleura. Il la pleura. Incapable de s’arrêter, ne pouvant que maudire ce destin sadique qui s’amusait avec lui. Le cœur lourd, il l’enterra dignement puis dû se résoudre à poursuivre sa vie, seul. Incapable de se lier avec quelqu’un d’autre, tant par la douleur physique que morale qu’il ressentait.

Il quitta cette maisonnée qui lui rappelait tant de bons souvenirs et quitta les terres de l’eau pour retourner là où il avait grandi, au sein de son Clan.

A présent, cela fait trois ans que Yasen vit en ermite sur les terres du Clan du Feu.



Bonjour ! Mon pseudo est OkamiKei et j'ai 22 ans. Dans la vie, je fais des choses et d'autres et j'aime manger *-*. Pour information, j'ai trouvé le forum grâce à des top-sites ou partenaires. Avant de finir, je voudrais rajouter que j'espère que l'horrible histoire de mon personnage est bien cohérente avec l'univers. Et ce design est magnifique !
Validé par Tsubichou ♥

Design & Codage de la fiche par Shaoline

Yasen
Endorien.ne
Yasen
Endorien.ne
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Ven 20 Nov - 18:53
Hellooooow <3

Bienvenue jeune demoiselle ! Je vais vite finir de lire tout ça, très bel avatar !
Löwin
Löwin
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Ven 20 Nov - 19:08
Merciii ! :D
Yasen
Endorien.ne
Yasen
Endorien.ne
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Ven 20 Nov - 19:13
Alors personnellement j'ai adoré ton histoire et le caractère de ton personnage !

C'est bien écrit, ça se lit tout seul !

J'ai bien envie de voir ma petiote lui tourner autour pour comprendre le pourquoi du comment de son caractère sombre ou mon cher vampire associal et lui avoir une discussion de grognements parce qu'ils chassaient la même proie :')

Je suis ravie de te voir parmi nous et te valide dès que possible (sur téléphone c'est compliqué)
Löwin
Löwin
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Ven 20 Nov - 19:53
Cool ! Merci ♥

Au plaisir de faire un RP avec l'un de tes persos alors 8D
Yasen
Endorien.ne
Yasen
Endorien.ne
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Ven 20 Nov - 20:34
Plop, validée, Rang B !

Tu peux dès à présent poster où bon te semble, générer ta fiche de liens et/ou demander un RP dans la rubrique appropriée ou poster un RP Libre où bon te semble ;)

Bon jeu :3
Tsubaki
Modératrice
Tsubaki
Modératrice
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